Después del resplandor
après la lueur
je sens le café
un autre matin et éveillé.
Jusqu'où j'ai voyagé... de quel autre univers.
L'éternité
nous a donné un peu de temps
pour goûter l'amour à l'intérieur de la poitrine.
Nous avons convenu de nous croiser pour apprendre
et continuer à voyager après
pour un autre café
Où allons nous
après la lueur, de la dernière couleur,
quand on rêve la dernière chimère...
Où allons nous
s'allume à nouveau, comme avant de naître,
quand nous avons sauté la dernière frontière...
Et on lâche prise.
Avant de
qui sait où nous sommes allés...
Mais cette fois, les routes ont été touchées.
tandis que la mer
Je vais sur le radeau avec toi.
Ce n'est pas par hasard, mais c'est un miracle
dans l'immensité
Nous avons accepté de traverser pour grandir
puis repartir
à une autre aube
Où allons nous
après la lueur, de la dernière couleur,
quand on rêve la dernière chimère...
Où allons nous
s'allume à nouveau, comme avant de naître,
quand nous avons sauté la dernière frontière...
Et on lâche prise.
Cette chanson a été écrite il y a de nombreuses années.. (en 1990).
Pendant longtemps, j'ai cru que nous avions effrayé le fantôme, mais il est toujours vivant.
Et je l'ai enregistré honteux qu'on n'apprenne pas plus.
Fantôme
hier j'ai rêvé
que le monde était mort.
et j'ai pleuré
et le silence m'accompagnait.
Et il n'y avait personne qui avait peur
il n'y avait pas de mots dans sa mémoire.
je voulais courir
encore à travers ses vallées.
je voulais m'évader
à nouveau de leurs villes
et je voulais voler comme des oiseaux...
Comme avant, ils ont volé, mais il était tard.
Un fusil chargé était le fantôme du passé
le seul héritage du monde humain.
Aujourd'hui, je me suis réveillé,
mais il y a des gens qui ne se réveillent pas
et veut le pouvoir
Au prix de n'importe quoi.
Il veut le pouvoir, celui qui meurt
et dans la violence la terre meurt.
Ils ne voient pas
les enfants qui meurent de faim ne rêvent plus
et ils boivent du xérès
planifier la prochaine guerre.
Et d'autres plus tard dans les tranchées
Ils perdent tout pour le compte de quelqu'un d'autre.
Dans mon rêve il n'y avait pas
pas de fêtes, pas de drapeaux
qu'ils ont survécu pour régner sur la terre.
Un fusil chargé était le fantôme du passé
le seul héritage du monde humain.
Ce n'est pas si facil
Ce n'est pas si facil
comprendre pourquoi
une vie s'éteint à la naissance
ou mourir oublié
qui a bien fait...
J'ai vu le méchant gagner.
pourquoi un autre jour
réveillé sans voir
le vieux joseph aveugle
ou pourquoi l'Afrique
perdre la foi
seulement des os et de la peau.
Seulement avec des os et de la peau.
Ce n'est pas si facil
oublie le frère qui se sépare.
Ce n'est pas si facil
lâchez votre étreinte libre dans les airs.
Est si facile
répéter les clichés
qui calment la bile pendant un moment
et c'est si dur
éviter de tomber
avec l'abîme à nos pieds...
comme c'est juste
la justice est
Si ça vient vingt ans plus tard...
ou pourquoi les balles
voler l'enfance
en Syrie, en Irak ou au Yémen
et ils ne touchent jamais au pouvoir...
Ce n'est pas si facil
oublier le frère cette partie
Ce n'est pas si facil
lâche ta libre étreinte dans les airs
Il n'y a rien d'autre
A mes trois rois.
Je ne peux pas penser à une autre façon
pour vous donner une lumière que vous portez et allumez
l'obscurité.
Il n'y a rien d'autre que tu as de moi
que c'est encore quand déjà
Je ne peux plus t'embrasser comme ça.
Laisse une marque indélébile sur ton âme
du seul amour qui ne demande rien.
Plante dans ta vie la graine fragile
laissez-le pousser sur votre peau où que vous alliez...
Je ne peux pas penser à une autre façon
prendre soin de toi quand tu es si loin
loin d'ici.
Quelqu'un peut-il vous emmener
pain et honneur
mais personne ne va voler l'amour
de toi et moi.
Laisse une marque indélébile sur ton âme
du seul amour qui ne demande rien.
Plante dans ta vie la graine fragile
laissez-le pousser sur votre peau où que vous alliez...
Il n'y a rien d'autre
qu'est-ce que tu as de moi
laisse faire quand
Je ne peux plus t'embrasser...
guerriers de boue
nous sommes des voyageurs du temps
à la recherche de notre place
Nous sommes les enfants du ciel
Un jour on pourra voler...
nous sommes des guerriers de la boue
avec le feu au coeur,
les muses bougent nos mains
s'enivrer de passion
Anges captifs de chair et d'os,
la seule chose qui mourra un jour.
Lumières errantes.
Elfes du cosmos
Mystère et magie immortelle.
Nuages étranges.
Yeux brûlants.
Ange du bien et du mal.
nous dormons des graines
en attendant de voir la lumière
essence divine subtile
comme la musique de luth.
nous sommes nos potiers
nous façonne pendant que nous marchons.
L'ange et le gardien
de notre propre éternité.
Nous sommes libres de cesser d'être,
nous possédons notre fin.
Lumières errantes.
Elfes du cosmos
Mystère et magie immortelle.
Nuages étranges.
Yeux brûlants.
Ange du bien et du mal.
Parce que tu es avec moi
Il y a des moments où j'ai fermé la porte
la porte au-dessus qui me mène à toi,
et bien que j'ouvre les yeux cette lumière n'entre pas.
La lumière qui illumine mon monde intérieur.
Je sais que je peux sortir
parce que tu es avec moi me donnant la foi,
comme un ange protecteur éclairant le chemin.
Parmi tant de corruption, de folie et de désolation
Je ne peux pas me laisser tomber.
Donne-moi la force de tenir les promesses.
Donne-moi le courage de supporter la douleur.
Je veux dans mon âme un peu de ton espoir,
Je veux me battre pour la paix.
Mes yeux ne voient pas derrière les murs,
mes oreilles n'entendent pas clairement ta voix.
Ce serait si bon de te voir face à face
et sentir votre commande calmer la douleur...
Je ne veux pas l'argent de l'escroc,
Je ne veux pas la caresse de la main hypocrite,
Je ne veux pas la flatterie du mensonge
ni le conseil de la folie.
Je ne veux pas partager la table avec l'oppresseur
ni avec ceux qui lavent leurs péchés par la charité,
Je ne communierai pas avec une religion
qui offre le salut en échange du pouvoir,
marchands de foi...
Parmi tant de corruption, de mensonges et de désolation
Je ne veux pas me laisser tomber.
Donne-moi la force de tenir les promesses.
Donne-moi le courage de supporter la douleur.
Je veux dans mon âme un peu de ton espoir,
Je veux me battre pour la paix.
cette pâle lumière
Je peux la voir briller dans le noir
d'un monde idiot dystopique
une lumière pâle sur les quelques-uns qui encore
ils refusent de leur donner leur volonté.
Ils comptent sur toi pour croire qu'ils ont le pouvoir
et ta peur les nourrit.
Ils savent ce que vous écoutez et écoutez ce que vous pensez
multiplier et faire réalité.
De vieux vautours survolent, des machines maléfiques.
Algorithmes dans l'ombre, contrôle total.
Les possesseurs de la vérité orchestrent l'inquisition.
Filets sur le feu chassant les hérétiques.
Ces "fous" qui gardent encore la pâle lumière
ils refusent de leur donner leur volonté.
Un labyrinthe virtuel devient un piège mortel.
Des ombres au fond de la grotte...
Le plan machiavélique si invisible et meurtrier
prépare l'échec et mat à la liberté.
De vieux vautours survolent, des machines maléfiques.
Algorithmes dans l'ombre, contrôle total.
Vos mensonges sont des chaînes. Ils t'attachent
Vous êtes emprisonné sans vous en rendre compte, vous ne pouvez pas les voir...
ils veulent nous anesthésier
sans valeur et sans âme
résigné à craindre
sans rien remettre en question.
Survolent de vieux vautours, machines du mal.
Algorithmes dans l'ombre, contrôle total.
Vos mensonges sont des chaînes. Ils t'attachent
Vous êtes emprisonné sans vous en rendre compte, vous ne pouvez pas les voir...
fenêtres de l'âme
quand je regarde dans tes yeux
je peux voir
même sans parler de tout ton être.
tes yeux ne me mentent jamais
ta bouche oui
Ils ne peuvent jamais faire semblant.
tes yeux sont comme du verre
qu'il ne sait pas cacher.
Les fenêtres de l'âme ne peuvent être fermées.
Quand tes yeux sont mauvais, mon amour,
Ils cherchent le sol pour ne pas pleurer.
Quand tu es mauvais ou le soleil, mon amour,
peindra un ciel dans tes yeux.
Et si tes yeux vont bien, mon amour,
ils n'envient rien à l'aube.
Quand tu vas bien, tes yeux sont plus que le soleil
Ils peuvent réchauffer, réchauffer ma peau.
Si je me perds dans tes yeux
Je mettrai l'éternité pour revenir.
Tes yeux arrêtent le temps et je suis là
devant cette mer, quand je t'ai vu.
Ils sont comme un verre
qu'il ne sait pas cacher.
Les fenêtres de l'âme ne peuvent être fermées.
Quand tes yeux sont mauvais, mon amour,
Ils cherchent le sol pour ne pas pleurer.
Quand tu es mauvais ou le soleil, mon amour,
peindra un ciel dans tes yeux.
Et si tes yeux vont bien, mon amour,
ils n'envient rien à l'aube.
Quand tu vas bien, tes yeux sont plus que le soleil
Ils peuvent réchauffer, réchauffer ma peau.
Par ces fenêtres tu m'as laissé entrer un jour
et tu as mis ton âme à nu sans dire un mot
juste avec ce regard.
Le cortège des oubliés
Les pieds nus foulent les rues,
le cortège des oubliés
Ils vont danser, chagrins brûlants,
leurs âmes n'auront jamais de chaînes.
En chantant ils effraient leurs fantômes,
ils portent des épées à la gorge.
Ils arrivent en marchant de partout
toutes langues et tous âges...
Il ne veut pas d'empires, il ne veut pas de propriétaires,
Il ne veut pas qu'on lui achète ses rêves.
Chante mon peuple et donne la main
afin que tous ses saints puissent l'écouter.
Vos enfants veulent parler la langue
dans lequel chantaient leurs grands-mères.
Des visages marqués par une vie
Laissez les autres décider comment cela se termine.
Leurs âmes n'auront jamais de chaînes
mais la douleur coule dans ses veines...
Il ne veut pas d'empires, il ne veut pas de propriétaires,
Il ne veut pas qu'on lui achète ses rêves.
Il ne veut pas d'empires, il ne veut pas de propriétaires,
Il ne veut pas qu'on lui achète ses rêves.
Que personne ne vienne voler vos rêves.
Il veut le pain de ses mains
son vin veut danser,
il veut que ses ancêtres pleurent dignement.
Il veut le pain de ses mains
son vin veut danser,
il veut que ses ancêtres pleurent dignement.
Le cortège des oubliés
Les pieds nus foulent les rues,
le cortège des oubliés
Ils vont danser, chagrins brûlants,
leurs âmes n'auront jamais de chaînes.
En chantant ils effraient leurs fantômes,
ils portent des épées à la gorge.
Ils arrivent en marchant de partout
toutes langues et tous âges...
Il ne veut pas d'empires, il ne veut pas de propriétaires,
Il ne veut pas qu'on lui achète ses rêves.
Chante mon peuple et donne la main
afin que tous ses saints puissent l'écouter.
Vos enfants veulent parler la langue
dans lequel chantaient leurs grands-mères.
Des visages marqués par une vie
Laissez les autres décider comment cela se termine.
Leurs âmes n'auront jamais de chaînes
mais la douleur coule dans ses veines...
Il ne veut pas d'empires, il ne veut pas de propriétaires,
Il ne veut pas qu'on lui achète ses rêves.
Il ne veut pas d'empires, il ne veut pas de propriétaires,
Il ne veut pas qu'on lui achète ses rêves.
Que personne ne vienne voler vos rêves.
Il veut le pain de ses mains
son vin veut danser,
il veut que ses ancêtres pleurent dignement.
Il veut le pain de ses mains
son vin veut danser,
il veut que ses ancêtres pleurent dignement.
Le cortège des oubliés
Les pieds nus foulent les rues,
le cortège des oubliés
Ils vont danser, chagrins brûlants,
leurs âmes n'auront jamais de chaînes.
En chantant ils effraient leurs fantômes,
ils portent des épées à la gorge.
Ils arrivent en marchant de partout
toutes langues et tous âges...
Il ne veut pas d'empires, il ne veut pas de propriétaires,
Il ne veut pas qu'on lui achète ses rêves.
Chante mon peuple et donne la main
afin que tous ses saints puissent l'écouter.
Vos enfants veulent parler la langue
dans lequel chantaient leurs grands-mères.
Des visages marqués par une vie
Laissez les autres décider comment cela se termine.
Leurs âmes n'auront jamais de chaînes
mais la douleur coule dans ses veines...
Il ne veut pas d'empires, il ne veut pas de propriétaires,
Il ne veut pas qu'on lui achète ses rêves.
Il ne veut pas d'empires, il ne veut pas de propriétaires,
Il ne veut pas qu'on lui achète ses rêves.
Que personne ne vienne voler vos rêves.
Il veut le pain de ses mains
son vin veut danser,
il veut que ses ancêtres pleurent dignement.
Il veut le pain de ses mains
son vin veut danser,
il veut que ses ancêtres pleurent dignement.
La corde sans filet
Y'a pas de carte, y'a pas de plan, on est venu sans manuel
personne n'a dit où aller. Nous marchons juste.
Il n'y a ni boussole ni écriture, seul le rideau a été ouvert.
Ni répétition, ni souffleur. On improvise juste.
Tout le monde dans cette mer sans lune ni boussole,
naufragés nageant contre le destin.
Il n'y a aucun moyen de savoir ce qu'il y a sous la peau.
Derrière un bon costume passent les cortèges.
Chacun avec sa croix cherche sa propre lumière.
La même clé n'ouvre pas deux cœurs.
Entre la bêtise et une certaine lucidité
Don Quichotte pâle contre les moulins à vent.
La corde sans filet suspendue dans le vide.
Nous parcourons pied après pied le cirque.
après mille tempêtes
En traversant la rivière je t'attends.
nous nous raconterons la vie
sans peurs ni vanités.
On cherche à déchiffrer la formule finale
Perdu dans les mystères du temps.
Qui peut t'apprendre l'art de voler
si nous sommes tous comme du sable dans le vent...
Il n'y a pas de sorciers ou de gourous, de minotaures ou de vaudous
faites-leur savoir ce qui est caché dans votre labyrinthe.
La corde sans filet flottant dans le vide.
Nous parcourons pied après pied le cirque.
Nous sommes tombés dans un jeu qui n'a été joué qu'une seule fois
et ne peut jamais s'arrêter.
Nous allons pied après pied sur la corde en équilibre
entre la gloire et la mort.
A la fin nous sommes arrivés en pansant nos plaies
et il n'y a que des souvenirs dans un vieux sac à dos.